Les règles des guides et des
serviteurs du monde:
1. Le premier niveau
correspond à la dimension
espace
2. Le second niveau correspond à
la dimension
temps
3. Le troisième niveau correspond à la dimension de la force
4.
Le quatrième niveau correspond à
la dimension de l’accord
5. Le cinquième niveau correspond
à la dimension éthérique de l’interactivité entre cause et effet. L’interactivité des
différents éléments et niveaux de l’univers crée des coïncidences ou accords
énergétiques qui causent la manifestation. Rien ne peut se manifester sans
« coïncidences ». Comme elles échappent souvent à notre
entendement, elles nous provoquent des confusions ou nous les assimilons avec
des « hasards » ou « fatalités ».
Note :
nous employons ici le terme « coïncidence » dans son sens basique :
comme énergies de même nature qui se rencontrent ou coïncident pour former
une manifestation. De là est déduit la manifestation de phénomènes
qui se ressemblent mais qui ne sont pas identiques. Ils peuvent nous conduire
dans l’erreur ou, ignorant leurs causes, nous les interprétons comme des
hasards incontrôlables.
Etre
cohérent à ce niveau dépend de la façon que nous soyons capables
d’exprimer « la vérité » par « l’authenticité »
de notre relation avec le potentiel original de notre âme,
c’est : s’exprimer de façon
original, selon la nature de son âme.
Notre
âme est l’essence de notre être spirituel, même au-delà de toute manifestation
et incarnation. Notre âme contient notre état d’être conscient avec son
potentiel. Plus que cet état d’être conscient rapproche l’état d’union avec
l’état d’être de l’esprit Supérieur et Unique, plus que nous sommes capables
d’exprimer notre vraie nature d’ « être divin » et d’être
uni avec l’âme unique et universelle.
Cela nous donne la cinquième règle, celle de l’originalité :
« J’actualise
continuellement ma connexion avec le potentiel de mon âme en toute franchise »
Au
niveau du leadership :
« je stimule
l’interactivité entre les hommes pour rapprocher le monde spirituel de la lumière
et de la conscience collective avec le monde des ombres et les limites de sa
conscience individuelle »
Le rôle du leader est de faciliter la création des relations plus justes.
Cela veut dire créer des conditions dans lesquelles chacun puisse reconnaître
sa nature et sentir qu’il fait partie d’un ensemble, malgré ses
différences spécifiques, et que cela se concrétise, selon son potentiel
réalisé, à plusieurs niveaux de service.
Il est donc indispensable de faciliter ce libre-service diversifié dans le respect des autres et dans un
esprit de solidarité. Ceci suppose en concret qu’il y ait de la transparence, de la franchise ou encore de
la sincérité ». Cela suppose à son tour : développer les
techniques qui dévoilent les ombres et les mettent en lumière.
Le travail du leader est donc d’indiquer les différents niveaux de la voie
de la réalisation de la conscience humaine en éclairant ces zones d’ombres dans
le service qu’il rend à l’ensemble collectif dans lequel ils vivent ensemble.
Il doit donc dire les choses comme elles se présentent en faisant abstraction
autant que possible des couleurs des sentiments et interprétations
personnelles.
Le leader a en même temps le rôle de
guide spirituel puisqu’il recherche à libérer l’authenticité d’expression
de la vérité en tous. S’il ne reconnait pas ce rôle ce n’est pas un vrai leader
mais plutôt un manipulateur ou un pantin qui ne cherche pas l’intérêt de tous mais
plutôt son propre intérêt et/ou d’un groupe isolé, quoi qu’en soient les causes
(frustrations, fin de pouvoir, peurs, aveuglements, extrémisme, visions et
concepts exclusives et irréalistes).
Le guide recherche l’harmonie entre être et paraître à fin que nos
expressions de vie soient authentiques et vrais. (symbiose est : vivre en
concordance avec son âme et avec l’âme du groupe en cherchant l’équilibre entre
le monde spirituel et matériel)
C’est surement la tâche la plus délicate et difficile du leader. Stimuler l’authenticité est faire appel
au potentiel de chacun et à l’esprit de groupe. C’est mettre en lumière les blocages
et distorsions dans les relations et stimuler les consensus par la création d’un
climat de confiance. Ceci ne sera
pas crédible sans qu’il montre lui-même ouvertement l’exemple de sa propre
authenticité, en reconnaissant ses faiblesses (ou ombres) et ses forces (ou lumière).
Il n’y a pas de honte à avoir de confesser ses erreurs. C’est un concept
senti-mental distorsionné et exagéré par l’histoire par des pénalisations qui
bloquent la libération de la conscience individuelle et collective.
Le bon leader est celui qui montre que ses inspirations spirituelles
élevées cherchent un équilibre dans la compréhension de l'être humain concret.
Un leader c’est : « un vrai gentilhomme qui a honte s’il prêche
des choses qu’il ne fait pas lui-même. » (Confucius)
6. Le sixième niveau correspond à la dimension spirituelle des relations qui existent et peuvent exister entre union et
différences ou individualités. Elles sont l’effet du niveau de conscience réalisé
de cette union. Plus que nous soyons conscients de ces relations plus que ces
relations sont justes ou idéales et plus que nous comprenons les différences
dans l’union et les niveaux d’interaction entre eux.
Etre
cohérent à ce niveau dépend de la façon que
nous « vivons consciemment » sur l’échelle qui mène vers l’état d’Esprit Immuable et Unique de
l’Univers,
c’est : « vivre consciemment l’amour
inconditionnel »
Cela nous donne la sixième règle,
celle de l’amour inconditionnel :
« J’unis
la diversité de la vie en reconnaissant l’amour dans l’union »
Au
niveau du leadership :
« je me laisse
guider par la vibration de l’amour inconditionnel qui unit tous et tout. »
Le rôle du leader est d’unir tous et tout au moyen de relations justes en éveillant
dans chaque être et chaque élément la conscience ou information intelligente de sa juste valeur de service dans
l’ensemble.
Dans ce contexte le leader aide à situer la place que chaque être et chaque
élément peut avoir dans l’ensemble. Il s’agit d’une place qui évolue avec la
réalisation de sa conscience et de la conscience collective du groupe dans
lequel il travaille.
Pour pouvoir réaliser cette tâche, il doit se familiariser avec les techniques
de synthèse, la conscience de synthèse et la science de
synthèse que l’être humain est en train de découvrir.
« La conscience de synthèse mène aux qualités divines qu’on
attribue au gentilhomme qui est superlumineuse
par l’amour de l’Esprit Universel qui vibre en, par et avec lui au fur et à mesure de l'absence de conditions qui le limitent» (H.a.t.ma)
Note :
Ce que c’est la conscience de synthèse, ses techniques et la science de
synthèse font partie du programme de formation des guides de l’humanité. Elles
sont traitées dans d’autres contextes.
Le projet est de créer un centre à ce sujet près de Força Real, autour du
Château de Caladroy dans les Pyrénées 0rientales (66), zone frontalière avec l’Espagne.
7. Le septième niveau correspond à la dimension divine ou atmique ou la dimension du souffle cosmique qui recrée sans cesse le monde de l’existence en le
rapprochant du monde absolu, immortel et parfait de « la sagesse » et de l’omniconscience.
Note :
atmique de hatma (sanscrit) veut dire souffle vital ou spirituel de l’âme, ce
qui correspond à l’énergie de l’amour-sagesse universelle.
Etre cohérent
à ce niveau dépend de la façon que nous
« célébrions » la vie en exprimant la sagesse de notre nature
divine à l’aide du « potentiel créatif « des talents
ou du génie de notre âme, c’est : « célébrer la vie de façon adaptée en
toute circonstance ».
Ce ne sont
pas les formes strictes, mais avant tout la
qualité vibratoire de l’expression, adaptée aux circonstances et personnes
présentes, qui soit importante. Une qualité vibratoire qui touche l’âme des
autres unit au-delà de toute justification mentale ou légale humaine. Les
formes qui ne vibrent pas divisent et perdent leur sens d’union. Ceci est la
clef musicale de toute harmonie et le seul sens des cérémonies, leurs rites et
protocoles. Quand la forme (le contenant) commence à dominer l’essentiel ou le contenu
d’un cérémoniel, elle devient comme les vieilles outres sans vin et sans vie. Elles
dégagent un air de moisi, irrespirable. Quand le monde change, nous changeons.
Il faut donc mettre le nouveau vin de la vie dans des nouvelles outres ou
formes qui vont vibrer de telle façon le vin qu’il nourrisse la grâce de la satisfaction,
la joie de la libération et la gratitude de l’émerveillement.
Cela nous donne la septième règle, celle de la sagesse :
« Je
crée un monde nouveau avec des formes nouvelles
en
exprimant la sagesse de ma nature divine»
Au
niveau du leadership :
« je sais que je
suis divin et que mon rôle est de contribuer selon mes possibilités à la
création du paradis sur terre dont tous rêvent »
Un vrai leader est un guide spirituel qui manifeste la cohérence, la beauté
et l’union d’un ordre nouveau. Son assurance et force de lumière en
témoigneront. Elles prouvent qu’il est cohérent
avec le plus vrai de soi-même, ce qu’il montre dans sa volonté indestructible de créer des relations plus justes avec
soi-même, son entourage et l’autre. L’indestructibilité de cette volonté est
basé sur la force ou souffle spirituel de son âme : la façon unique de
s’unir avec le principe unique de la vie et l’originalité de le montrer par un
amour qui va au-delà des concepts établis, grâce à sa sagesse et ses
expériences.
Cohérence, assurance, force de lumière, accord solidaire, originalité,
amour inconditionnel et sagesse sont les 7 qualités du destin du guide idéal, l’homme superlumineux dont la gentillesse de
sa nature consiste à indiquer le chemin du paradis pour tous. Il sait que ce
potentiel est dans chacun comme un
cristal (talent) caché ou enterré. Il sait qu’il faut répandre une lumière plus
claire et intense pour que ces zones d’ombres disparaissent, comme le fait le
soleil actuellement.
Un vrai leader sait qu’imposer un ordre nouveau ne fait pas disparaître les
ombres. En travaillant sur soi-même, il essaye d’enlever les propres voiles qui
cachent les voiles des autres. C'est par l’exemple que chacun puisse les
découvrir de soi-même en leur donnant la confiance, du temps et les moyens qui
leur manquent.
Un vrai leader tente de voir tout comme un défi positif au lieu d’une
erreur ou catastrophe fatale et impardonnable. Il essaye d’extraire le mal comme
une force qui doit être libérée pour donner à l’ensemble de la vie plus de
cohérence, de beauté, d’ordre et d’union. (synagogie est : célébrer la vie par des
formes constructives (ou techniques) qui invitent à exprimer la conscience
collective de l’union).
La magie est le caractère festif de la vie. Elle éclate comme l’effet d’un feu d’artifice qui sort du processus d’union au fur et à mesure qu’il soit partagé concrètement
entre tous. Le vrai leader est donc aussi magicien
puisqu’il dévoile les mystères de la vie qui restaient cachées par absence
d’esprit collectif et/ou de groupe.
Conclusions :
En
réalité, « tous nous sommes des guides » l’un pour l’autre, puisque
nous participons tous dans le Même et Unique Esprit de la Conscience Originel.
Nous sommes donc destinées à partager et reconnaître toutes nos expériences. Ce
qui est le vrai sens de la confession ou
reconnaître ses torts et raisons. La notion de culpabilité est liée à
impuissance, ignorance et inconscience du monde du renferment sur soi dans ses
propres ombres. Le monde de la lumière est celui de la libération des poids
aveugles de l’inconscience collective. C’est donc aussi le monde du pardon et
de compassion, de la patience, de l’indulgence et de la constance
indispensables pour réaliser cette libération en tous.
Toute
expérience est importante et nous enseigne le chemin de notre cohérence ou incohérence
avec l’unique grande réalité de l’Esprit Universelle (appelé le Père). Pour
faciliter ce travail, l’Esprit Universelle a reparti son génie en différentes
places et sur différents niveaux. Certaines entités ou personnes sont mieux
placées pour recevoir d’avantage la lumière de l’origine, tandis que d’autres
font l’expérience dans les zones d’ombres pour indiquer le travail qui a été
oublié ou pas encore fait dans la lumière. Nous n’avons donc pas à condamner et
exclure automatiquement mais à essayer d’apprendre quels soient les enseignement que les relations entre lumières
et ombres nous donnent. Grâce à la mise en lumière de cette compréhension
les guides peuvent contribuer à l’union et indiquer le chemin de la
transformation de tout ce qui peut être transformé.
Le vrai
guide est celui qui accepte d’aller,
autant que possible, avec l’autre vers
la lumière de l’union. Il passera donc aussi dans l’ombre (la descente aux
enfers), mais grâce à sa lumière il court moins de risques de s’y perdre, bien
que le danger d’être aveuglé par la
lumière soit autant plus grande. Sa sécurité est se sacrifier en chaque
situation plus intensément pour œuvrer que la lumière entrera dans l’obscurité.
Il est comme une graine semée dans la terre. Il doit continuellement mourir à
son propre ombre pour être crédible et donner nouvelle vie à tous.
Pour nommer
cette caractéristique du guide, il n’y a pas encore de mot adéquat en langue
française. Nous est venu le mot de « conduisage »
(de conduire et suffixes : s–age : ou état de capacité de mener ses
semblables, comme résultat d’actions
réalisées, vers un contexte de vie de conscience supérieure ou sage).
Le guide
connait le chemin ou le sentier vers
l’union, bien qu’il chemine, qu’il a toujours cheminé et qu’il cheminera
toujours, avec ses semblables. Il voit pourtant mieux que ses semblables que ce
chemin se révèle dans l’éclairage des relations qui existent entre les différents
niveaux de lumière (comme la clarté des étoiles) et leurs ombres ou
reflets (comme les planètes et les satellites, aussi artificielles). Sa
tâche n’est pas d’exploiter la lumière qu’il reçoit pour devenir l’intermédiaire
indispensable. Le premier des maîtres est le premier des serviteurs. Il sert à illuminer
le potentiel de ses frères et sœurs à fin qu’ils soient capables de se prendre
soi-même en main pour transformer leurs ombres et faiblesses (appelé aussi les
ténèbres de l’inconscience de la peur, des passions et des illusions mentales
et spirituelles) en forces bénéfiques qui puissent servir à leur tour à tous. Reconnaître
et comprendre les forces cachées de ses ombres est indispensable pour
progresser sur le chemin du paradis et pour éviter les risques des chutes ou de
se perdre complètement.
Nous
devons comprendre que le rôle du guide change aussi avec le progrès de la conscience
collective. et de sa propre conscience. Le rôle sacré de l’initié privilégié et celui du pasteur individuelle
(sacerdos) avec leurs suprématie, comme le monde l’a connu jusqu’à maintenant, disparaitra
progressivement pour laisser la place au développement de l’idée que nous tous « prêtons »,
d’une ou autre façon, un service à l’ensemble des collectivités dans lesquelles
nous vivons. Seulement l’ordre établi ne le voit pas encore et a peur de perdre
le contrôle. De l’autre côté ce service est encore trop passif, fatal et inconscient.
Le nouveau
concept de l’idée du « prêter service à l’ensemble »
fait naître l’idée que chaque être humain, selon son niveau de service
charitable, est un prêtre (ou Melki-Tsedeq « Roi
charitable »- la tsedaka est la charité en hébreu) du Très Haut, Principe Unique
de la Vie Universelle, comme annoncé dans le livre de la Révélation
(Apocalypse).
Note :
charité est du latin caritas : carus ou cara et itas : un état de
visage ou de valeur élevé : ce qui est le sens d’amour sans conditions.
Chaque
être humain est un être sacré dans sa qualité de service d’amour pour tous.
Quand il exploite ce potentiel de son âme, il reçoit les dons surnaturels et la
clarté d’esprit qui facilitent ce service. Le plus fort de ces dons est pouvoir
lire dans l’âme de ses semblables. C’est le don de la lecture de l’immortalité
divine ou du livre de la Vie comme indiqué dans le livre de la Révélation
(apocalypse). C’est ainsi que le loup (l’ombre
de l’homme sauvage) demeurera avec l'agneau
(la lumière de l’hommee sacrifié ou sanctifié) comme avait
prophétisé Isaïe (11).
Illuminer ou conduire à la lumière est le sens de toute éducation et donc du guide ou leader.
Le propre du « service de conduisage » est d’œuvrer pour que le potentiel de la lumière (de conscience)
de ses semblables et de soi-même voie le
jour et sorte d’avantage. Comme il œuvre pour le plus grand bien de tous et
de tout, il œuvre aussi naturellement pour soi-même, puisque toutes les
créatures forment comme un seul corps. Il avance avec ses semblables pour que
le cercle d’amour avec ses frères et sœurs ne connaisse plus de limites
sectaires. Pour cela il œuvre pour « faire
vibrer un accord total d’intérêts » et pas pour la subordination
ou la domination à quoi ou qui qu’il soit.
Il est
évident que dans cet avancement du guide, il y en a qui ne comprendront pas
parce qu’ils ne sentent pas encore assez la résonance de la note clé de
l’harmonie avec leur âme. Leur conscience est encore dominée par des règles
humaines qui réduisent la force de la loi d’amour. Il y en a qui pensent de comprendre
et confondent le règne de l’amour avec suivre des règles strictes. D’autres encore,
refusent d’entendre ou de voir. Tout cela est à cause de la loi de division qui sépare le cœur (le vrai bonheur de la vie) du cerveau (le poids du pouvoir des
idéalisations des concepts établis). C’est donc normal que par cette confusion
les faux guides sont pris pour des vrais guides puisqu’ils peuvent faire beaucoup
de bruit et que le vrai guide ne soit pas reconnu parce qu’il travaille d’une
façon préservée et prudente. Cette
distorsion que nous retrouvons dans les pouvoirs établis est l’effet de l’histoire
des expériences de onze mil ans de séparation entre corps (mental) et esprit (supramental).
Il est donc
clair que le guide sera confronté avec les schémas établis qu’il rompra. Il
sera confronté avec les pouvoirs et les règles sacrés que l’homme a établies
pour se protéger de l’inconscience collective, de ses défauts, de ses passions
et de son ignorance. Mais il ne lâchera pas d’œuvrer pour la répartition des
pouvoirs selon les besoins du progrès vers l’union. Dans le même sens, il indiquera
en permanence les règles qui divisent et œuvra pour l’abolition de celles qui soient dépassées.
Le vrai
guide travaille avec patience et indulgence. Il est attentif au moment juste
pour ses actions selon les vrais besoins du moment. Il sera toujours prêt à se
corriger en cas d’erreur.
Enfin, le
guide inspiré « refusera à collaborer ou à faire tout ce qui
ne conduira pas vers une vie spirituelle dans l’union libre de chaque être
humain. » Cette union s’appelle en concrète la fraternité
universelle.
Bien que le guide
ne luttera pas, l’intensité de son travail ressemblera à un combat quand le
libre chemin vers l’Esprit d’union soit mis en danger. Il ne se laissera alors
pas conduire par l’esprit de division des humains mais par le feu du Grand Esprit de Vérité Intérieur qui
purifie le sentier de chaque Fils de l’Homme vers l’ultime union avec ses
sources de Vie.
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