Nous vivons la fin d’un cycle. C’est le moment de faire le
point pour libérer la mémoire, nécessaire (la base) pour commencer un cycle nouveau.
Tout est ondes. Toutes les images ou éléments manifestés des
cycles passés se gardent plus ou moins selon l’importance de leur interactivité
matérielle-spirituelle. Elles sont comme les éléments basiques pour préparer un
nouveau repas, plus accessible et plus festif que la dernière cène il y a 2000
ans. Il faut donc les retirer de la réserve pour les ajouter avec les éléments nouveaux et mélanger l’ensemble avec les
énergies nouvelles, les eaux plus pures des sources de vie du temps du verseau.
Dans nos ordinateurs nous stockons ces données quelque part
sur un support adéquat ou disque (=ce qui est dit)
ou autre medium adéquat. Dans l’univers, il y a différents niveaux de support
comme dans notre corps (les os, les lymphes, le sang…).
Toute expérience et manifestation dans l’univers sont codées
sous forme de particules plus ou moins lumineuses, qui peuvent être traduites,
comme dans nos ordinateur, comme des groupes de quantités de chiffres binaires interactives
dont le résultat sont des images de mémoire. Elles ont le potentiel d’être
restituées, plus ou moins intactes, dès qu’elles soient réactivées par des
conditions appropriées qui apportent les particules lumineuses adéquates,
provenant d’une source assez pure (processeur),
pour stimuler suffisamment le potentiel interactif des données conservées en
mémoire.
Tous les évènements et expériences
sont interactifs et laissent les moments successifs du présent derrière soi.
Ils forment des accumulations d’informations de nature familière. Ce sont des données
qui provoquent des ouvertures de tension ou des vides (trous noirs, un aspect
de l’antimatière, comme les taches solaires, que nous connaissons dans la
science astronomique y astrophysique) relatifs à l’évolution de
l’entourage. Ils passent alors dans des
tunnels d’accélération pour être triés, le cas échant pour être recyclés et
servir comme source d’alimentation à la vie courante, pour être stockés
comme réserve de mémoire intelligente ou pour fusionner avec le courant de
l’ascension d'un esprit individuel, de familles spirituelles et/ou enfin de l’ensemble
de la perfection de la vie selon leurs différents niveaux de conscience
(hiérarchie spirituelle).
Cette réalité de courants est à l’image des courants
maritimes, des vents, des rayons de lumière ou encore des ondes des courants énergétiques
dans la voie lactée ou des énergies
cosmiques dans l’univers.
Nous retrouvons ces courants au niveau scientifique dans la
représentation de l’univers comme un enlacement de cordes. Ces cordes forment
des courants qui ne s’enlacent pas seulement. Elles se touchent et se croisent aussi
pour former des nœuds d’interactivité selon leur niveau de qualité vibratoire
respective de chacune dans le grand mécanisme quantique de l’univers.
A la fin de notre vie, ce que nous avons vécu suit le même
processus d’accélération de données et du triage de leurs informations selon
leur quantité, qualité et intensité (en rapport de leur importance pour la
perfection de l’union de la vie). C’est comme le système d’une gare de triage
pour les wagons de trains marchandises. Les accumulations ou centres de
stockage (nœuds) sont en permanence en mouvement et évolution.
Les données de nos expériences spirituelles montent dans les
sphères subtiles de la terre et au-delà selon que notre esprit soit capable de
prendre distance des corps inférieurs physique, émotionnel et mental. Ces corps
et les données de leurs informations suivent, chacun à leur niveau, leur propre
chemin de libération si nous n’avons pas fait un travail avancé de leur spiritualisation.
Dans ce cas, les corps peuvent rester plus ou moins intacts en conservant un contact
plus ou moins intense avec l’esprit de son incarnation, en manifestant des
qualités en dehors du commun. C’est le cas pour des personnages comme les
saints.
La libération se fera plus ou moins vite selon que notre
corps soit enterré ou incinéré. La libération au niveau physique se fait par la
radiation gamma que perdent les noyaux des atomes chimiques. Les informations
libérées peuvent, selon le triage et leur niveau, retourner à la surface de la
manifestation selon qu’elles soient plus ou moins directement recyclées, mises
en mémoire ou absorbées comme expliqué plus haut.
Pour chaque niveau, il faut en principe la fin du cycle avant
que les informations puissent retourner à la lumière. Dans ce contexte nous
comprenons l’importance de la vénération des morts pour autant que ce soit dans
un esprit positif de libération et de mémoire de leurs qualités et non pour
alimenter les souffrances d’une séparation.
A travers ce réseau de classification interactive, les
informations sont révisées selon leur qualité lumineuse ou intelligente,
c’est-à-dire, leur degré d’harmonie ou disharmonie d’union, le degré de
perfection des concepts de la vie, inclus au-delà de la mort physique et
spirituelle, leur degré d’amour et de sagesse et de conscience d’union exprimée
et réalisée. Il y a donc des données, devenues inutiles, qui sont stockées,
comme les déchets dans la poubelle de nos ordinateurs, pour être supprimées.
D’autres restent en circuit pour être réactivées plus ou moins rapidement
puisque leur processus d'interactivité n’est pas encore terminé dans le cycle
actuel de causes-effets. C’est comme la mémoire vive de la vie. Enfin, il y a
les autres qui, selon leur importance et qualité, sont stockées sur le niveau
(dossier ou demeure) approprié de l’univers comme réserve pour le moment qu’un nouveau cycle
en a besoin.
L’ensemble de ces supports forme la mémoire akashique (= à
cacher comme mémoire des sources de vie). Cette mémoire est gardée plus ou moins
vive par l’hommage que nous rendons au passé et à ses personnages à travers
l’enseignement, les célébrations de commémoration et le développement de la
science de l’histoire.
Elles se
trouvent où ces annales ?
Toute matière peut être support. Cela dépend de la quantité
et de la qualité vibratoire des données. Ainsi la terre elle-même a de la
mémoire, les arbres, les animaux, l’homme et son esprit. Nous pouvons ainsi
monter dans tous les niveaux (demeures)de la création. Jusqu’aux plus subtils et divins.
Comment nous
avons accès à cette mémoire ?
C’est comme dans notre ordinateur, il faut une science ou
conscience adaptées pour pouvoir retrouver et décrypter le lieu de stockage.
Mais à part le don ou la formation pour ouvrir cette mémoire, la vie lui-même
peut la libérer.
Comme il y a de trous d’entrée, il y a des trous de sortie
lumineuse, comme les écrans de nos ordinateurs. Quand un cycle de conditions concernant
les données mémorisées se termine, il se crée une ouverture aux endroits et
niveaux appropriés, provoquant une accélération qui pousse les données à
libérer leurs informations nécessaires pour le plan d’évolution du cycle
suivant. Mais, chaque fois qu’il y ait durant un cycle une ouverture propice,
des phénomènes parallèles peuvent se produire et ainsi aussi révéler de
réalités plus subtiles, qui viennent des niveaux de vie supérieurs à celui de
la terre.
Quand on se trouve bien devant la
fenêtre ou l’écran de l’ouverture (qui forme la sphère d’un triangle déplié o un rectangle-losange
qui laisse passer la matérialisation de la lumière subtile),
et si on n’est pas trop occupé fixant autre chose, on peut voir ce qui soit
normalement invisible. Ceci est la base scientifique pour expliquer les apparitions
et autres phénomènes dans ce genre, jusque-là inexpliqué : Lourdes,
Fatima, l’ange dans la Basilique St. Pierre à Rome (mars 2007) et tant d’autres
comme le phénomène des Bermudes, du désert de Gobi, du trou dans le pôle Nord (la
porte de la vie astrale intérieur de la terre) et ce que nous avons personnellement
vécu le 5 janvier1989 au niveau de l’absorption de l’antimatière par le soleil
qui conduisait vers son activité plus lumineuse actuelle.
Par leur capacité de nos appareils
numériques d’enregistrer l’interactivité du dynamisme arithmétique binaire
simple, moins conditionné (0 source et 1 de la forme spécifiée) de la lumière
captée, ils peuvent se révéler des choses que nous ne pouvons pas voir directement
avec nos yeux. Les films de nos vieux appareils ont aussi des capacités
spécifiques qui échappent à notre perception directe.
Nous regardons les choses en les absorbant et donc nous ne
voyons qu’une réalité partielle ou relative (maya), ni ses rayonnements (auras)
ou autres effets de leur radiation. Avec le juste recul, tout le monde devrait
pouvoir développer cette capacité. Nos appareils numériques sont donc pour le
moment plus disposés à capter des effets des radiations des particules de
lumière sous forme de codes arithmétiques. Ils restituent par exemple, de façon
directe, des orbes, des sphères de lumière, effet d’un processus
d’harmonisation qui sont à leur tour des portes d’ouverture et de libération de
vies plus subtiles.
Dans la photo: Orbes et apparition d’un moine (dans le cercle) 22.05.2007,
Sasso, ex monastère du cœur percée de Jésus du 13° siècle, Italia
Nos yeux ne sont pas encore assez exercés (excités par
accélération énergétique) pour voir cela directement du fait que notre cerveau
n’est pas habitué à fonctionner en harmonie avec l’ensemble de tous le
potentiel de ses différents centres. C’est le reflet du manque d’harmonisation
entre les différentes expressions de notre vie. C’est à cause de notre façon
exclusivement analytique de penser, c’est-à-dire, fixant et divisant nos
informations au lieu de les projeter directement dans l’harmonie interactive
d’un ensemble cohérent, ce qui est propre au dynamisme de synthèse de la
conscience d’union.
Nous n’exprimons donc pas ce que nos pensées ressentent et
nous ne ressentons pas ce que nos pensées veulent expérimenter (Saint Paul, Rm
7, 19) et nous devenons nerveux. Peu à peu
nous nous bloquons. Nous rejetons et devenons impatients et intolérants avec
des réactions incontrôlées jusqu’à devenir extrêmes et violents. Le patron de
cette disharmonie interactive se reflète dans les relations énergétiques entre
nos chakras et notre relation d’union inconsciente avec la réalité plus unie de
notre âme et l’esprit de notre Être Superieur. Harmoniser est remettre dans
l’union. C’est la base des miracles de guérison. C’est autre chose que forcer
une ouverture.
Les animaux ont chacun des capacités spécifiques et souvent
très développées pour s’harmoniser et s’adapter. Il y en a qui voient sans yeux
et le caméléon peut se rendre quasi invisible dans son entourage. La queue de
la salamandre peut repousser puisque le patron archétypique de l’espèce est
conservé dans son ADN. Ceci est aussi le cas, mais pas encore consciemment
exploré et exploité, en nous. Confirmons encore que nos enfants et
petits-enfants voient ou sentent plus ou moins les auras, capacité qui se cache
et peut se perdre par manque
d’enseignement et d’exercice. Le poids aveugle y automatique du scepticisme de
notre ignorance collective y contribue beaucoup.
L’importance de tout cela est que le passé se restitue déjà
de soi-même pour continuer dans le présent à fin de se perfectionner. En plus,
nous pouvons développer la capacité de libérer notre passé. Il faut simplement
la volonté d’ouvrir la conscience pour développer la vision spirituelle d’union
au-delà de nos restrictions mentales et concepts spirituels limités. En nous
ouvrant nous apprenons à voir et comprendre les signes et signaux qui nous
conduisent vers notre libération.
La photo
de Jésus , Pierre, Mari-madeleine et Jacques:
Voici donc la photo, obtenue de la part des personnes qui
ont voyagé à Jérusalem. Un jour, se promenant en dehors de Jérusalem,
probablement en direction de Béthanie, passant par un champ (de blé ?), quelqu’un a pris
une photo. L’étonnement était grande de constater ce qui apparaissaitt après le
développement de la pellicule.
Selon notre ressentiment nous reconnaissions directement
Jésus avec à sa droite Pierre qui parait indigné, pendant que Marie-Madeleine
se tient en retrait, pratiquement se cachant à son intérieur, suivie par
Jacques qui tient un bâton comme un pèlerin (//chemin de Compostelle).
Apparemment Marie-Madeleine est gênée. Ne serait-il pas par la jalousie de
Pierre qui ne supportait pas l’attention spéciale que Jésus prêtait à sa
compagne ?. En même temps ils semblent passer par un champ de blé. Il
s’agit de faits racontés dans la Bible.
Pourquoi
ce retour ?
L’Esprit de Vérité est en voie de retour comme Jésus avait
prophétisé. La vérité doit donc être mise en lumière pour construire un temps nouveau sur des bases plus amples et saines.
L’image de l’homme
Jésus en tant que le Guide des hommes, qui a ouvert le chemin de pèlerinage
vers Dieu, a été gardée et honorée par une grande partie de l’humanité. Les
noms des saints et de qualités chrétiennes sont répartis sur la terra entière.
Mais surtout les chrétiens ont constamment projeté l’image de Jésus, Père et
Guide, Instructeur de l’humanité, sur
Jérusalem et son entourage. En plus, les lieux de son origine sont de plus en
plus visités dans le besoin de sentir et de comprendre plus de son histoire au
fur et à mesure que le monde est en train de se perdre dans les dominations de
la matière. Ces actes d’évocation libèrent finalement la force de ces lieux pour
restituer une des images de sa mémoire. C’est ce que nous faisons pour
restituer une image gardée dans la mémoire de nos disques durs.
Ici il s’agit d’une photo restituée à des gens qui ne se rendaient
pas compte de la raison et de l’importance de leur découverte. Ils la passaient
à une de nos amies qui nous la transmettait comme preuve de confiance en
voulant connaître le ressenti de notre perception. Il n’y a pas de doute que c’est
un signal du plan divin. Autres lieux et autres personnes évoquent d'autres
images, de visions ou des expériences extraordinaires comme les plaies du corps
de Jésus (les stigmates de Padre Pio).
C’est une des innombrables façons de l’Esprit de Vérité pour
libérer la force lumineuse de l’Esprit Un du Christ, qui était focalisé dans
l’Esprit de Jésus. Ainsi il se répartit davantage sur toute l’humanité. Une
expérience partagée devient une expérience collective. A cause des limites
actuelles de notre conscience d’union et notre séparation avec notre nature
divine, nous mourons physiquement pour pouvoir nous libérer de nos expériences.
Ainsi nous pouvons les partager (compartir) de façon plus libre, en dehors des limites de
la vie incarnée. Cette libération nous permet de nous rencontrer dans les
sources de vie divine pour continuer nos expériences vers notre perfection
divine.
« Etre Christ » est un état d’Union Divine avec l'Esprit du
principe Créateur de l’univers. Il s’appelle « union mystica » [un
état naturel d’union avec le Tout de notre esprit qui signifie une situation de
brouillard (mist
en flamand) pour le scepticisme du mental concret].
Les coups de force de ces libérations (comme les trompettes
dans le livre de l’Apocalypse) servent aussi pour renforcer la descente de
l’esprit de Jésus. Il focalise de plus en plus le corps humain qui se prépare
dès sa naissance pour continuer son rôle de Père-Guide-Instructeur de l’humanité. Toute manifestation a un noyau
comme centre de référence de son évolution.
La vie sans hiérarchisation ne peut pas se manifester.
L’intention
du plan divin est que ce fils de l’homme, en
collaboration avec les esprits les plus proches, sensibles et ouverts, canalise
ses expériences sur le chemin d’union avec le Principe Père Créateur. La façon
de travailler est faire la synthèse au moyen de compartir, convivir, collaborer
et communiquer de façon solidaire, comme entre des frères-amis unis dans l’âme,
le cœur et l’esprit.
Pour ouvrir le chemin, il est nécessaire que l’être humain
soit libéré du poids aveugle et collectif de l’ombre noir de la mort physique.
Elle empêche de monter sur le chemin de la justice et de la paix par le pardon
et la compassion et d’entrer dans le
royaume de la lumière de l’Esprit de l’Union Christique. (le Film, le Seigneur
des anneaux, est une autre forme pour faire comprendre cette libération).
Ce défenseur, qui porte le nom codé de Hatma (âme), tant
attendu par le monde entier, travaillerait, comme un avocat, l’union de
l’humanité. Il donnera le mode d’emploi
pour actionner les clés (para-clet), dont le Pape à Rome est le gardien, qui
ouvriront la porte du chemin d’ascension à travers les demeures du royaume de
la lumière vers le paradis et le foyer central de notre Principe Père-Mère de
notre Union Commune.
Ce chemin était jusque maintenant
obnubilé par le voile de l’inconscience collective que la division de notre
individualisme empêche de lever. Sans la conscience de solidarité fraternelle, il n’y aura jamais d’union. C’est plus
qu’être chrétien et suivre les règles strictes d’un institut religieux ou
spirituel. Dieu peut se rencontrer partout (le Pape François) et en tous
(Jésus). Ceci ne veut pas dire que ces instituts perdront leur sens. Ils sont
appelés à s’accueillir, se réconcilier et se pardonner mutuellement comme des
frères et sœurs d’accompagnement sur le chemin de leur ascension divine. Ils
devront tous en continu s’adapter aux nouvelles exigences des révélations du
plan divin pour donner une raison plus réelle à leur existence de service à
l’humanité dans sa montée dans l’état de
l’Esprit Divin de Christ.
La lumière de la Vérité ne pourra plus jamais rester cachée.
Elle poursuivra toujours les ombres du passé pour les libérer au moment
nécessaire pour construire correctement un futur plus parfait. Par contre, un
dicton flamand nous conseille : « il
ne faut pas sortir des vielles vaches du fossé ». Il ne faut pas inutilement remettre en question ce qui est
pardonné et oublié. Cela devient comme une statue de sel qui ne peut plus
servir pour donner du gout à la vie (l’histoire de Sodome et Gomorrhe et la femme de Loth qui
se transforme en statue de sel. Genèse, 19, 17-26).
Plus que la lumière de vérité de Dieu s’approche de nous,
plus qu’elle révèle et libère la justice divine. C’est le sens intelligent de
l’évolution du plan divin. Elle ne se révèle que progressivement, en étapes,
selon la possibilité de notre compréhension et l’éveil de notre conscience. Pour
la comprendre, il faut respecter ces étapes dans un esprit de tolérance, pleine
de pardon et de compassion.
Certaines choses peuvent être tolérées qui ne pouvaient être
tolérées dans le passé selon le plan et inversement. Tout passe selon que
l’homme soit préparé pour comprendre les conséquences de ces actes selon l’égarement
de ses passions et son aveuglement mental et spirituel. Il lui fallait l’apprentissage
par restrictions et discipline pour pouvoir comprendre avant tout l’essence de
l’amour et ensuite son processus vers l’inconditionnalité de sa perfection
divine. Un enfant a besoin de règles de référence plus strictes pour canaliser l’amour
dans son comportement à fin de ne pas faire n’importe quoi. Un adolescent a
déjà besoin de plus de liberté pour pouvoir exprimer son potentiel bien que des
règles restent nécessaires pour découvrir que la vraie liberté est servir
l’harmonisation de l’ensemble de la vie. C’est déjà le principe fondamental de
la santé de notre corps individuel.
C’est-à-dire, la loi aveugle du Karma entre causes et effets
se transforme en coïncidences de libération au fur et à mesure que notre
conscience d’union progresse dans la compréhension du plan divin et que nous
puissions pardonner et montrer de la compassion réelle en aidant à réparer nos
erreurs mutuelles. En pardonnant aux autres et en aidant à réparer les erreurs
des autres, nous facilitons le pardon et la réparation de nos propres erreurs.
Ceci nous crée la facilité de dépasser le karma qui suit l’automatisme d’une justice
aveugle. Les parents qui aiment leurs enfants prennent en charge ce que leurs
enfants ne peuvent pas porter.
Libérés de cette justice aveugle, nous pouvons faire des
choix plus libres et justes qui conduisent à des coïncidences plus heureuses.
Elles apporteront bonheur, abondance, satisfaction et félicité au lieu d’un
état d’impuissance dans lequel on se sent impuissant, victime sans protection,
paralysé par les cycles de domination des ombres qui nous divisent dans des
conflits de destruction apportant des vagues de pessimisme, de dépression
et même de suicide. Les coïncidences deviennent alors des assemblages de forces
constructives qui jusque-là échappaient à notre entendement.
Note : l’importance
de cette image de l’Instructeur du Monde (Maytreya):
Nous sommes ici au niveau du sens du livre « Isis
dévoilé » de Hélène Blavatsky [= la lumière (solaire) du réservoir (vat en flamand) du ciel (sky) = feu
de l’âme, alma, atma]. Elle
s’appelait en réalité Helena Hahn (= coq, celui qui réveille).
Il s’agit de l’expérience divine d’un autre niveau de la réalité cosmique qui
se reflète sur la terre : Il s’agit de
Jésus (je-
suis Os-iris : la lumière de la mémoire de Dieu qui « ose » voir
son plan d’origine – o-ur-se/osa./=beer) et
de sa sœur du cœur cosmique Marie-Madeleine (l’Esprit Mère qui tisse la laine du doux esprit de
l’agneau avec le monde de la matière). Elle est appelée Isis (elle Qui a l’œil fixé sur Dieu en ayant son regard dans la
matière). Comme elle se confronte avec la vie
matérielle, elle était donc noircie comme pécheresse bien que sept démos (tout le mal de l’inconscience
cosmique par sa séparation apparente avec l’intelligence d’origine) l’ont quitté. Elle est la partie complémentaire de la
lumière de l’esprit de Jésus. A sa façon elle était le bouc émissaire (chivo en espagnol) de l’aveuglement de l’esprit humain, captivé et fixé par l’obscurité
du monde matériel. (chivo,
en autre dimension cosmique Shiva, représente les ténèbres qu’apporte la
destruction de la danse du fin des cycles par la sagesse de la troisième œil,
l’œil de Dieu).
Cette image montre que le destin de la femme est égal à
celui de l’homme dans l’ascension dans la nature divine de l’être humain. Elle
a été mise en arrière-plan par la domination de l’homme (expression de Pierre)
dans le contexte social temporaire de l’histoire humaine. Dans la préhistoire, la
paternité n’existait pas et
donc non plus le patriarcat. (Jacques Dupuis
sj). Il n’y avait pas des relations conjugales comme maintenant. Ainsi la
cohésion sociale et la continuation de la société étaient fondées sur le
principe de la mère-linéarité et le matriarcat. La père-linéarité et le
patriarcat commençaient à se développer à partir de l’époque Mu et Atlantide
(il y a plus de douze mil ans), surement stimulés par des changements
planétaires qui rendaient la survie plus difficile et qui nécessitaient la
force du chasseur et le caractère expansif et explorateur de l’homme.
N’oublions pas que le droit matriarcal germanique de la loi salique n’a
seulement pris fin avec les invasions des barbares et la chute de l’empire
Romain Oriental et en France primitive avec Clovis au sixième siècle.
Le patriarcat est seulement un
reflet d’un contexte social de l’évolution humaine. Appeler Dieu le Père est
une vision anthropomorphique qui convient parfaitement pour être comprise dans
le contexte social de la masse des gens. Mais au niveau théologique, Dieu est
en, par et avec tout, inclus en tant que Père, Mère et Fils et Fille. Ainsi en
absolu, nous pouvons Le donner tous les attributs comme les Juifs le font à
juste titre. Mais, aucun ne puisse limiter l’essence de sa nature infinie.
Si l’homme se sent, grâce aux
circonstances de la vie au-dessus de la femme, elle a pourtant généralement une
plus grande capacité de réceptivité, d’intuition et de gestion. Les différences
s’estompent progressivement ainsi que la femme peut revendiquer, au moins
spirituellement, le droit de son égalité de service dans l’ascension dans
l’esprit d’union du Christ.
Il y a plus, dans l’ascension des
paires opposés, les couples ou gémeaux cosmiques sont appelés à former un seul
esprit. On comprend maintenant beaucoup de divorces ou liaisons d’apprentissage
passager entre couples et la compréhension idéalisée, avant sa réalisation, du
rite sacré du mariage. Cela ne veut pas dire qu’aucun rite de consécration ne
puisse avoir lieu mais il y a différents niveaux d’union selon l’évolution de
la conscience humaine.
Souvent ce ne sont pas des vrais
couples qui s’unissent dans le sens cosmique et universel que Jésus voulait
indiquer. Pourtant, ils ont besoin d’une reconnaissance sociale. Les vrais
couples cosmiques se forment progressivement en fondant leur amour centré dans l’union
de leurs cœurs. En plus, ils doivent connaître leur rôle d'union dans le plan
divin. Qui connaît déjà clairement les marches du plan de son ascension vers
l’union dans le plan divin ? C’est une croissance et révélation divine
progressive à travers les expériences de la vie. Mais même s’il s’agit des
vrais couples, aussi longtemps qu’ils ne reconnaissent consciemment la marche
de leur union sur l’échelle du plan divin, ils ne sont pas à l’abri de l’impact
d’égarement des conditionnements de la vie. Ils peuvent fragiliser leur amour
et conduire à une séparation temporaire, nécessaire jusqu’au moment que leur
évolution libère la lumière nécessaire pour les sortir de l’ombre et découvrir
leur couple de vérité.
Notre ascension passe par différents
stades et niveaux dans l’esprit de l’union divine. En plus, le plan divin n’a
pas prévu le célibat comme idéal divin pour l’union de l’être humain vers sa
nature divine. Cela ne veut pas dire qu’il puisse être demandé o être choisi
librement selon les circonstances. De tout façon, c’est une idéalisation spirituelle
ou religieuse que jamais Jésus, ni autre prophète selon nos connaissances, a
enseigné. C’est bien une préférence de Saint Paul (1 Cor 7.1) qui indiquait
que l’essence de la vie spirituelle va au-delà de la vie matérielle. En
appliquant ce principe par confusion sur la vie en couple des prêtres, c’est devenu
une règle absolue pour eux, bien qu’il mérite à être mis en question.
Heureusement ce n’est pas devenu une règle universelle. La race humaine
n’existerait déjà plus.
Il y plus, le plan divin a pourvu que
l’être humain puisse passer le stade de l’androgyne pour perfectionner son
ascension divine. C’est une évolution lente et cyclique qui se présente au
début comme les premiers signes isolés du printemps pour devenir peu à peu plus
forte et soudain plus visible par une croissance rapide.
Nous retrouvons les premières traces
clairement dans l’époque de l’entourage d’Akhenaton et puis dans les mythes dont
Platon au 4° siècle a.C. faisait mention. La sexualité est devenue sujet tabou
dans les centaines dernières années. Il a exclu et a vu toute forme qui
n’entrait pas dans l’ordre normal ou moral comme décadente, exceptée dans
l’art, entre autres avec Da Vinci. Nous savons qu’à l’époque de Jésus,
Jean-Baptiste était un éphèbe, ce qui avait attiré l’attention d’Hérode et
aussi de Jésus. Jésus, lui-même, avait le côté masculin et féminin très
rapproché vu la finesse et l’intuition de son esprit qui ne se reflétait pas
seulement dans ses paroles mais aussi dans son visage et son attitude de pardon
et de compassion, typique pour les mères envers leurs enfants. Il est tout à
fait probable que dans l’entourage de sa famille, il y avait une concentration
de tendances androgynes.
Confrontés depuis longtemps avec
cette question, nous avons des bonnes raisons et indications de prétendre que Marie,
la Mère de Jésus, était même la première personne vraiment androgyne connue
dans l’histoire humaine révélée jusque-là. Cela n’empêchait pas d’avoir
d’autres enfants après avec son mari Joseph.
Il y a donc raison de déclarer la
immaculée conception de Marie, comme elle a confirmé par son apparition à
Lourdes. Bien que la foi en Dieu ne dépende pas de ce fait, le principe de
l’immaculée conception apporte néanmoins une fois de plus une preuve de la dimension
divine de l’évolution des deux sexes humains.
Les changements planétaires et
cosmiques vont maintenant faciliter et intensifier ce processus vers
l’androgyne. Il faut savoir que l’homosexualité est une étape dans ce
processus. L’amour entre deux êtres androgynes sera finalement un croisement
d’amour doublement homosexuel (homme-femme-femme-homme). De plus en plus de
personnes entrent dans une phase intermédiaire, plus ou moins homosexuelle ou
bisexuelle.
Souvent elles ne savent pas faire un
choix décisif ou ne savent pas s’identifier puisque ils ne s’en rendent pas
compte ou le poids sélectif de l’entourage moral ne le leur permet pas. C’est pourtant
une des causes de leur comportement incohérent et instable, de dépressions, de
fatalité et même de suicides. Ce serait en plus très dramatique si les parents
prenaient une décision d’intervention chirurgicale pour leurs enfants sans leur
approbation, en choisissant les apparences physiques d’un seul sexe du fait
qu’ils montreraient des anomalies selon les normes établis. Le manque de compréhension humaine en relation de l'évolution de son corps et de son entourage risque d'accentuer une attitude sexuelle incorrecte.
Effectivement, l’entourage n’est pas
encore capable de donner une référence claire, ni d’assurance à cause de son
ignorance quant au sens du dessein divin pour l’évolution de la perfection de
la nature humaine.
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