Tout est toujours en évolution. C’est bien plus évident du moment qu’intervient la conscience. Déterminer la ligne de l’ascension quantique de la terre est inévitablement lié à l’histoire de l’évolution de l’intelligence et la conscience humaine dans son entourage cosmique. L’histoire de la terre est plein de raccourcis et lacunes qui sont déterminés par des concepts conditionnés et souvent intéressés. Si on voit des cycles successifs avec leurs hauts et bas, des crises et des temps plus paisibles et propices, est-ce qu’on ne voit pas que la surface ? On a du mal à voir la complexité de leur réalité plus profonde et vaste. C’est à l’image de notre respiration. Son impact ne laisse pas forcément assez de traces pour donner directement des preuves matérielles de son effet sur les plans plus subtils de l’ensemble de notre être.
La vie forme une union d’un ensemble de conditions interactives entre plusieurs niveaux et dimensions. Mais les effets de leurs relations ne sont pas toujours directement visibles. Parfois ils sont seulement visibles ou tangibles sous l’effet d’une alchimie profonde après un temps plus ou moins long par l’effet d’accumulation et de répétition. Ce qui est alors lent et progressif jusqu’à aujourd’hui peut tout un coup devenir explosif et accélérer. Le temps n’est guère relevant pour faire des déductions et conclusions à base des rythmes des mouvements que nous sommes capables de voir à l’instant.
La science a tendance de réduire le mécanisme du monde à des phénomènes et paramètres matériels. Ce qui nous fait réfléchir est que nos ancêtres avaient des connaissances tellement profondes qu’ils savaient parfois manier notre monde matériel d’une façon qui nous échappe. Nous ne sommes parfois même plus capables de répéter leurs actions, comme par exemple la construction des pyramides, en plus sur des lieux qui seraient à importance énergétique cruciale que la science ignore. Ils avaient des capacités de comprendre l’alchimie entre les mondes subtils et les mondes denses. Par une sensibilité, dont la plupart d’entre nous n’a plus la mémoire et encore moins la connaissance, ils semblaient avoir eu accès au potentiel d’un monde que nous désignons actuellement comme quantique. La réalité de monde matériel était pour eux qu’une fraction d’une réalité et vérité immense qui dépasse notre imagination. La science commence actuellement à s’ouvrir au champ unifié d’intelligence qui évoque le potentiel infini et quantique de l’évolution de la vie. La vérité ne correspond donc pas automatiquement à la version officielle ou ce que nous croyons communément bien souvent de sans vérification. La vérification demande aussi de suivre des voies inhabituelles.
Le réveil en nous du monde subtil nous a stimulé à essayer de reconstituer l’histoire de la ligne de l’ascension énergétique de la vie terrestre dans la perspective du développement du potentiel de l’Intelligence Universelle. Nous essayons ainsi donner une vision évolutive qui diffère à ce qu’on trouve à ce sujet. Nous avons cherché le déroulement d’un dessein aussi cohérent que possible sans prétendre d’être complet et sans erreurs. Nous étions incités d’aller au-delà des informations répandues et établies à base de concepts matériels ou spirituelles qui circulent, surtout sur Internet. Notre travail nous a menés sur des pistes qui jetteront une lumière inhabituelle sur le sujet qui pourra inciter à approfondir le sujet.
Si l’être humain compte dans sa structure énergétique un alignement central de base de 7 chakras ou centres de relations et diffusion énergétique, c’est que la terre devrait contenir le fondement intelligente pour les faire naître, évoluer et les nourrir. Toute manifestation a besoin de racines de fondement.
L’évolution de cette ligne d’énergie centrale de la terre est de nature plus flexible et variable que chez l’être humain. La terre a un corps unique à long terme en évolution continue avec les forces de l’univers. Ses changements sont déterminées d’un côté par l’évolution des éléments de sa nature sphérique autour d’un axe centrale fixe, relativement stable, et de l’autre côté par son entourage cosmique où elle a une place déterminée dans le système solaire dont elle fait partie. Les effets se manifestent surtout sur sa surface et dans ses atmosphères. Les forces qui déterminent les mouvements de la terre sont complexes, variables et soumises à de multiples facteurs qui peuvent profondément changer la structure sous laquelle la terre peut se présenter. A part du fait qu’on commence à découvrir qu’elle est aussi soumise à des facteurs subtils ou spirituels, sa structure et vibration énergétiques s’adaptent aux changements des circonstances de la vie.
L’être humain évolue à base d’un corps d’incarnation à chaque vie unique qui reflète pourtant les effets des expériences antérieures. Ce corps s’adapte à chaque incarnation à base d’un archétype collectif qui évolue lentement ainsi que selon les expériences du passé. Son corps a aussi une structure en évolution énergétique continue autour d’un axe central latéral. Contrairement à la terre, il peut changer de lieu de vie quand il en ressent la nécessité ou l’envie. Sa structure physique ne peut pas changer profondément mais bien sa vibration énergétique.
Changer de lieu est pour l’être humain un choix. Le lieu de la terre est déterminé par un ensemble de circonstances. Ses changements sont automatiquement liés au système solaire dont elle fait partie et à son voyage dans l’univers local en accumulant les effets des différents éléments qui constituent l’évolution de la vie qu’elle contient. Trouver la ligne d’évolution de la terre avec ses centres énergétiques est donc la reconstitution d’un puzzle de structuration d’une intelligence sous l’influence de plusieurs dimensions en étant en réalité en construction permanente. En plus, selon la dimension de notre conscience, différents niveaux de lignes de chakras ou centres énergétiques semblent pouvoir se révéler avec une importance de fonction plus ou moins local ou planétaire.
C’est important de savoir que l’énergie est à la fois mouvement de force et forme structurelle en évolution permanente. Nous n’allons alors pas projeter un plan de mouvements et de formes théoriques, cristallines et géométriques idéales et fixes. Quel arbre est tout droit ? Quel fleuve ne change pas son lit selon les variations des conditions qui l’entourent ?! De la même façon nous pouvons provoquer des déviations et blocages dans les énergies de nos corps, mais aussi des accélérations ou élévation de vibrations qui mènent vers un fonctionnement énergétique d’union supérieure, plus parfaite. Ce qui suit est donc un travail de recherche à base d’un ressenti profond des relations qui pourraient déterminer et éclairer le sujet à plusieurs niveaux.
L’évolution de l’énergie centrale ou Kundalini de la terre
Toute énergie est porteuse d’intelligence et fait partie de systèmes interactifs qui unissent des informations intelligentes en évolution permanente. Plus que l’énergie est connectée avec la conscience, plus qu’elle évolue et communique avec des dimensions supérieures, plus que sa forme parait souple. Aussi la terre est un être intelligent dont la conscience est soutenue par l’ensemble d’êtres vivants qui en réalité appartiennent à plusieurs niveaux, régions et dimensions de l’univers. Leurs différences influencent intelligemment le système énergétique de la terre. Ceci inclut que sa forme manifestée peut être source de transmutations et d’adaptations, origine tantôt de progrès de structuration intelligente, tantôt de déformations catastrophiques selon l’harmonie ou disharmonie générée dans l’ensemble.
Nous essayons de reconstruire ici l’évolution de l’Energie Centrale Vitale de la Terre (ECVT) avec ses centres ou chakras qui déterminent entre autres l’évolution de l’aura de la terre et de son corps d’union (Merkabah). L’ensemble forme le support de l’évolution de l’énergie vitale, des chakras de l’être humain qui influencent son aura et son corps d’union (Merkabah). L’ECVT est en constante évolution. La surface que nous voyons de la terre est en fait comme l’être humain, une sorte d’illusion, une façade ou la partie émergée d’un iceberg. Son évolution cache des centres ou chakras d’expression qui évoluent à plusieurs niveaux. Ils changent avec l’évolution de la vie planétaire et tout ce qu’elle contient.
L’ECVT de la terre monte en spirale du centre de la terre. Nous situons la montée selon la rotation Ouest-Est de la terre en commençant à la hauteur des Iles Christmas pour monter vers l’Afrique. Puis, sous l’effet de la résistance à la rotation ce courant prendrait un sens inverse comme nous verrons plus loin pour enfin descendre vers le pôle sud. Ce mouvement en sens divers pourrait être la base de l’oscillation de la terre.
Nous savons peu de choses sur les temps primitifs de la terre. Elle a commencé comme une boule de feu, reflet du soleil. Elle s’est progressivement rétrécie en formant une douzaine de plaques tectoniques principales comme durcissement par refroidissement de la surface extérieure. Elles se sont tantôt rapprochées pour former des continents, tantôt certaines ont disparu dans les océans. Chaque plaque aurait reçu une énergie spécifique de l’univers comme une fructification à long terme de la vie future par l’énergie des douze constellations du zodiac. Chacun d’eux aurait dû avoir son centre énergétique spécifique de forme toroïdal avec un vortex de réception et d’émission. C’est le temps de la gestation de la vie dans les océans avant de les quitter comme une grande inspiration. Ces centres formaient probablement, comme l’ADN, les principes-instructeurs de potentiel intelligent des futurs chakras des êtres vivants. Apparemment 7 continents se sont maintenus matériellement jusqu’à nos jours. A part le noyau de la terre, 5 centres auraient avec l’évolution de la vie progressivement ascensionnés vers les atmosphères supérieures de la terre en relation avec le point zéro des terres émergés, comme mentionné plus loin. Ils correspondent plutôt au potentiel de l’éveil spirituel et subtil de la vie et la formation du Merkabah, le corps d’union planétaire de l’humanité (MaRoPA – Madrid-Rome Paris Alger - ma robe blanche de l’apocalypse au niveau planétaire).
A la fin de l’époque Carbonifère (-333ma) ces plaques se sont unifiées dans la Pangée. L’évolution de la terre aurait commencé à se stabiliser avec l’époque mésozoïque de la Pangée (-252ma à 66ma). C’est l’ère secondaire ou reptilienne. L’ECVT aurait connu alors qu’un seul grand centre énergétique d’information intelligente qui unissait l’énergie des différents continents futurs pour centraliser et harmoniser la diversification de la vie. C’est comme une grande inspiration. Sur la carte nous marquons ce centre unique sous forme d’un cercle un peu étiré en noir dans l’Océan Indien. L’évolution de la diversification de la vie semble le plus marquant à la fin de cette époque (ère secondaire) à partir de la dissolution de Pangée. Il est très probable que les continents comme nous les connaissons maintenant n’avaient pas tout à fait la même forme qu’ils ont actuellement, que certains zones n’étaient pas visibles et que certaines ont tantôt émergé, tantôt immergé au fur et à mesure de la disparition des continents Lémurie, Mu et Atlantide.
Nous représentons en mauve sur la carte les continents qui auraient disparus : la Lémurie dans l’Océan Indien et MU (le/MU/rie), qui serait son restant dans l’Océan Pacifique, avec l’Océanie et l’Australie et enfin l’Atlantide dans l’océan Atlantique. Dans ces trois grands océans (indien, pacifique et atlantique) on voit l’indication des mouvements d’expansion liés au courant ECVT en spirale qui surgit dès du centre de la terre comme effet du système du magnétisme dipolaire de la terre causé par sa rotation.
La représentation des continents perdus sur la carte est indicative. Leurs étendues ne tiennent pas compte avec la dérive des continents, officiellement progressive mais probablement parfois aussi avec des moments plus intenses, même brutaux à partir de la surface imaginée de la Pangée. Leurs espaces donc hypothétiques. Ce n’est non plus possible d’indiquer tous les changements plus ou moins importants qui ont eu lieu avec le temps et dont il n’y aurait plus de traces directes. Nous retrouvons dans les trois océans seulement des restent des continents perdus comme des iles de Madagascar, d’Océanie ou des Canaries ou encore l’Australie.
Avec la disparition de la Lémurie dans l’Océan Indien, le centre unique a disparu et la ligne de l’ECVT s’est développée à partir de ce que nous parait la formation du premier centre énergétique de base, ou coccyx, autour du Lac Victoria en Afrique. L’effet aurique de ce courant serait le plus en équilibre autour de l’équateur où l’intensité magnétique montre une valeur intermédiaire entre le pôle nord et le pôle sud en nano Tesla comme indiqué sur la carte ci-dessus.
Près de cette région (e.a. Ethiopie) du lac Victoria la faune et la flore a été le plus riche et les hominides auraient trouvé les traces de leurs origines. L’alignement de l’énergie intelligente de la terre avec l’être humain et le pilier pour le progrès humain se situerait actuellement aussi près de cette zone selon Leo Blazquez (El Poder de la energia inteligente – 1995 Editorial Bitácora). Ce serait pourtant initialement au continent de Lémurie par sa connexion avec les Pléiades que l’humanité aurait reçu les bases de son évolution.
Ceci accentue les fissures entre le rift occidental et oriental qui semblent évoluer vers la rupture entre la plaque africaine et somalienne et leurs microplaques. On note en 2018 une faille de 58km avec une ouverture soudaine de 15m dans le sud-ouest de Kenya. Pour indiquer que les mouvements de dérive peuvent être tantôt brutaux, tantôt progressifs ce qui relativise leur temps de progrès.
L’ancien centre unique de Pangée semble être devenu une sorte de zone d’expression d’équilibre de l’ECVT avec le ciel. Nous l’appelons hara de la terre (centre de la race humaine) à l’image du hara de l’être humain. Il évoque aussi la porte du mal, origine d’une suite des adaptations de la terre à son entourage cosmique, accompagnés d’une suite d’impacts et de bouleversements (le mal) qui ont conduit à la dispersion de Pangée, de la disparition de la Lémurie et du continent de Mu, le restant du continent de Lémurie dans l’océan pacifique et enfin du continent de l’Atlantide.
La zone du Lac Victoria est très probablement le premier centre énergétique de la terre dans le sens de chakra vital où la vie intelligente a triomphé à la suite des grands bouleversements qui ont conduit à l’éclatement de la Pangée. De là, l’ECVT se serait développée à fur et mesure des dérives des continents et le développement de la vie, en créant d’autres centres qui ont déménagés avec le temps en s’adaptant aux informations de l’évolution de l’intelligence de la vie. Bien qu’il nous semble exister plusieurs courants qui semble partir de ce centre vers l’Europe (Espagne) et le Moyen Orient (Egypte, Bagdad), le courant central d’ascension semble d’abord se diriger vers l’est pour contourner l’Australie en s’éloignant de la Pangée.
C’est dans la zone du Pacifique où le feu de la terre serait monté le plus à la surface, que le centre sacré devrait se situer. L’ECVT, en pointillés noirs, aurait trouvé à l’époque de Mu, l’expression de l’élément feu sacré, ou sacrum, au centre de Mu (Océanie), restant de Lémurie dans l’Océan Pacifique. De là, l’ECVT se serait courbée, peut-être à cause d’une inversion de l’axe de la terre ou la résistance envers sa rotation en direction du désert de Gobi. Cette zone soulevée progressivement par la compression de l’Himalaya, aurait fonctionné comme l’ancien plexus solaire, lié à une certaine maîtrise de l’énergie solaire éthérique de l’être humain. Dans un lointain passé, quand les chakras supérieurs au diaphragma de l’être humain n’étaient pas encore très développés, il aurait été un lieu plus florissant avec une connexion plus directe avec le monde éthérique (Shamballa, cité éthérique). Cette zone aurait été considérée alors comme le sommet de l’évolution de la sensibilité éthérique de l’être humain, base d’une certaine évolution mentale et maîtrise du monde matériel qui aurait dépassé certaines connaissances actuelles.
Puis, nous nous retrouvons dans l’Océan Atlantique avec Poseidonis, au-delà des colonnes d’Hercule (actuel détroit de Gibraltar), centre du développement du potentiel des dons ou talents (génie) de l’être humain, base de l’éveil des chakras supérieurs de l’être humain à l’époque Atlantide. Il semble qu’on peut seulement parler à cette époque d’un chakra du cœur en éveil, encore trop éloigné de l’alignement d’intelligence de la terre. Il parait comme un centre principal de transmutation intelligente de la terre et donc de changements de la circulation de l’énergie de la terre en rapport de l’être humain, de là son disparition.
Les anciens continents Lémurie, Mu et Atlantide, se sont effondrés en plusieurs phases dont la dernière se situe il y a environs onze mille ans à l’ère du lion. Avec l’effondrement de Lémurie, Mu et l’Atlantide le centre ou le cœur d’union énergétique de l’humanité se serait fixé par les Egyptiens au niveau de la grande pyramide de Gizeh. Selon eux elle aurait été l’expression du point zéro des terres émergées de la terre. Cette construction serait aussi l’expression du premier alignement conscient de l’être humain avec l’intelligence de la terre et du ciel. Il s’agit d’un centre d’énergie libre. Il est très probable qu’un ou plusieurs changements de l’axe de la terre (selon Hérodote) sont intervenus. La montagne sculptée de Montserrat semble l’indiquer par la cadereta, en réalité un sphinx sculpté et orienté en sens opposé au sphinx de Gizeh. La cadireta (ou le lion) se trouve en sens opposé du Timbaler qui évoque la constellation du verseau ou l’homme pensant (recherches faites à base de : El templo Abierto de Montserrat et El templo de Horus de Carmen Maymo, en Espagne).
Ces changements terrestres ont provoqué le déplacement de la vie et des centres énergétiques de l’ECVT en partant du Lac Victoria. Ainsi, nous trouvons le centre sacré actuellement dans la mer de Banda, zone centrale du feu de la terre, carrefour des trois plaques tectoniques d’Asie, du Pacifique et d’Australie. C’est à ce niveau que le surplus du magma monte via le Japon et l’étroit de Béring par la ceinture de feu qui descend ensuite le long des Amériques vers le pôle Sud.
Puis la poussée de la barrière Himalayenne aurait coupé progressivement la ligne énergétique centrale vers le désert de Gobi et le plexus. La ligne s’est déplacé vers l’autre côté de l’Himalaya pour stimuler les lieux sacrés de l’Inde et finalement fixer le centre du plexus autour de Bagdad (Mésopotamie) à l’est de la méditerranée avec des nouvelles civilisations naissantes fixant nouvel embryon du chakra du cœur de la terre autour d’Egypte (Gizeh) plus près de la ligne du pilier nord-sud de l’intelligence de la terre (alignement lac Victoria).
C’est avec la disparition de ces continents que le Mont Shasta aurait commencé à fonctionner comme connexion intra terrestre, ou gorge (entrée) intérieure (5a) de la terre, auquel devrait correspondre plus tard un centre de connexion extraterrestre ou gorge extérieure (5b) dans le Golfe de Mexique. C’est ici que l’ECVT rejoint la ceinture de feu.
La carte avec les chakras actuels. Les chakras supérieurs à celui de cœur seraient en éveil..
Le centre de la gorge actuel semble donc double comme reflet de la séparation entre la vie intérieure et extérieure de l’être humain mais aussi entre la vie inférieure, infernal et supérieure, céleste. Ceci correspond à la façon d’exprimer la vérité de la vie sur quoi les amérindiens remarquent souvent que l’être humain à tendance à parler avec une lange fourchue selon les intérêts qui le dominent. Cette zone double est aussi une zone de haute tension où la ceinture de feu se prolonge entre différentes plaques tectoniques (plaque nord-américaine, plaque pacifique, plaque de cocos et plaque caraïbe).
Si on voit sur l’image que l’être humain a une position à l’envers, le redressement de son corps supposerait un changement de l’axe de la terre par un déplacement du nord vers l’Est. C’est dans ce sens que la science constate actuellement le mouvement (26°E). Ce glissement de l’axe de la terre serait facilité par la diminution du magnétisme entre les pôles, l’épuisement des eaux souterraines et le dégel des glaces. Le centre coronal de la terre semble donc aussi se déplacer en correspondance, en remontant le pôle Sud vers l’ouest, ce qui devrait annoncer de l’ouverture du chakra coronal chez beaucoup d’êtres humains. N’est-il pas normal qu’il y ait un parallélisme entre l’énergie de la terre et l’évolution humaine ?!
Il est curieux de constater que la ligne de l’ECVT suit en parallèle la route de la soie (le verre à soie symbolise le passage de l’obscurité vers la lumière). L’Himalaya semble évoquer le diaphragme et la difficulté du passage de l’obscurité à vaincre vers la lumière. C’est le défi de dépasser les montagnes des forces aveugles qui dominent les corps inférieurs (physique-éthérique, émotionnel et mental) de l’être humain (Himalaya – élément physique/terre), Caucase – élément eau/émotionnel; Alpes - élément air/mental et Pyrénées - élément feu/spirituel). Ce n’est pas étonnant si l’humanité connait une concentration de problèmes surtout ‘passionnels’ et de conflits autour du Moyen Orient dans les pays qui entourent Bagdad. C’est en effet ici le nœud solaire actuel ou le plexus des forces qui dominent les relations humaines dans le monde. Il s’agit d’un vrai problème d’ascension de l’esprit humain qui se reflète dans toute l’humanité en manque d’ouverture du cœur.
Après l’époque égyptienne l’énergie de l’union du cœur se serait déplacée via Jérusalem (message d’amour du Christ) progressivement vers Roma (en principe l’inverse de amor/amour) et puis vers le golfe du Lion et le long des Pyrénées. Plus loin nous montrons une carte de l’ensemble du chakra du cœur actuel qui à son tour compterait 7 centres. C’est dans sa partie orientale (Força Real) qu’actuellement est en train s’ancrer le point zéro de l’énergie libre qui évoque la correspondance avec l’Intelligence du Verbe (Intelligence Universelle). C’est le niveau 5 du cœur ou l’expression (gorge du cœur). Le point zéro de la terre semble en effet se déplacer actuellement et s’éloigner de Gizeh en direction des Pyrénées (Força Real, baptisé le lendemain de Pâques : montagne de la Fraternité Universelle). Il s’agit d’un déplacement vers le nord-ouest d’environs 29° sur les méridiens. Ceci pourrait être une indication pour le déplacement de l’axe de la terre. Cet ancrage suivrait l’ensemble des changements de la terre qui accompagnent la fin du cycle actuel du soleil. Ces changements, entre autre dû au soleil et son système, ont des effets sur le magnétisme de la terre et le mouvement de son axe. Le réchauffement climatique et son accélération assez brusque se situe dans ce contexte ce qui dépasse bien les effets de l’action humaine. Nous ressentons depuis quelques dizaines d’années que les changements actuels ne se feront sous l’impulse du ce que les Hopi confirment. Le feu est source de lumière, base de l’éveil de la conscience.
Nous constatons que le sixième chakra chez l’être humain, jusque-là identifié avec le front (ajna), correspond avec le centre de synthèse qui s’éveille dans le centre de la tête pour unir tous les possibilités du cerveau. La projection vers le futur (ajna-front) et la vie dans la mémoire du passé (arrière-tête) se rejoindront ici dans le présent infini. Ce centre se situerait près des trous de Monro (mot indiquant une orifice ou embouchure permettant la circulation interventriculaires des liquides du cerveau).
Sur terre ce centre se situerait au-delà de la frontière entre le lac Titicaca au Pérou et la ville de la Paz en Bolivie. C’est le centre de l’éveil de la nouvelle conscience de synthèse de l’Humanité, liant l’intelligence du ciel avec celle de la terre, dont l’énergie influencerait le dépassement du dualisme du mental humain actuel. Ceci conduirait à dépasser la vision de séparation entre extérieur et intérieur, inférieur et supérieur, bien et ma et (et donc la fermeture de la porte du mal).
Enfin, le centre coronal de la terre se trouverait près de l’antarctique, mais est apparemment décalé du centre du Pôle Sud à cause des tensions des liaisons de la terre avec son entourage cosmique, exprimées par l’inclinaison actuelle de l’axe de la terre de 23°27’.
Le début de la seconde partie du cycle solaire actuel, il y a environ douze mil ans, se présente comme le début d’une accélération de changements au niveau de l’évolution de l’ECVT avec la disparition d’Atlantide. La situation actuelle laisse prévoir des nouveaux ajustements importants pour permettre l’éveil d’une nouvelle étape dans l’évolution de la conscience de l’être humain.
Ne dit-on pas souvent que le monde est à l’envers comme montre l’image précédente ?! Probablement ces changements seront plus rapides qu’on imagine généralement. Ils concernent des ajustements des relations humaines et surtout l’équilibre entre les éléments masculins (yang) trop dominants et féminins (yin) dépréciés de la vie. Ceci concerne la mise en valeur de l’expression de trois codes d’intelligence de la vie: ouverture d’esprit au lieu de fixations ; communication de la vérité au lieu d’opinions individualistes et cohérence du sens (lumière-conscience collective) au lieu de la manipulation de l’inconscience collective. Il s’agit d’un processus vers l’expérience d’une nouvelle union (fusion) fraternelle et solidaire au-delà de la dualité conflictuelle actuelle. Il va inévitablement de pair avec une purification par le feu de l’énergie de la vie.
Voilà en dehors des opinions conventionnelles une reconstitution de l’évolution de l’ECVT recherchant l’équilibre entre la Mère divine du ciel et la Mère-Terre.
Ille sur Têt, le 25 août 2023.
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